Le Gabon s’est engagé à réduire ses émissions de gaz à effet de serre provenant des forêts de 50 % d’ici 2025 par rapport à un niveau de référence de 2005 dans la CPDN soumise en 2015 dans le cadre de l’Accord de Paris sur le climat.

Le Gabon s’est positionné comme un défenseur du climat au regard des actions menées sur l’Economie verte. Sa stratégie est orientée autour des secteurs de l’agriculture, des mines, de la gestion durable des ressources halieutiques et forestières, de l’énergie propre et de l’écotourisme.

Son engagement pour la protection des forêts et la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre porte ses fruits.

En effet “La transformation numérique est au centre de la transformation économique et sociale du pays depuis une dizaine d’années” comme a déclaré Monsieur Cheick Kante, Directeur des Opérations pour le Gabon.
Cette opération, signée par le Ministre de l’Economie et des participations, Monsieur Mays MOUISSI, aura pour but de promouvoir la création d’un environnement propice à l’accélération de la transformation numérique, en renforçant les fondements juridiques, réglementaires et technologiques de la protection des données, de la cybersécurité et de la sécurisation des échanges de données au sein du secteur public. Le projet contribuera également à moderniser les systèmes d’identité légale, y compris la numérisation du système d’enregistrement civil et la fourniture d’une identité unique pour faciliter l’accès de tous aux services publics.

Projetées à court et à long terme, l’évolution des risques mondiaux devrait empirer à long terme selon le Global Risks Report 2024 mené par le Forum économique mondial, en partenariat avec Marsh McLennan et Zurich Insurance Group. “Les résultats mettent en évidence des perspectives majoritairement négatives pour le monde à court terme, et qui devrait empirer à long terme” ressort-il du rapport. Près des deux tiers des experts mondiaux ont anticipés une forte probabilité de catastrophe mondiales au cours des dix prochaines années, cela devrait se produire au cours des deux prochaines années pour 30% d’entre eux. Ressort-il du rapport .

Au regard du tableau ci-dessous, le climat et la technologie seront les principaux facteurs à court et à long terme, selon “Global Risks Report 2024” de risques mondiaux.
Les plus grandes sources de risques mondiaux sont liés à l’environnement et Occupent les premières places (évènements climatiques extrême, changement critiques dans les systèmes environnementaux de la terre, perte de la biodiversité et pénuries de ressources naturelles), suivi des techniques d’information de communication qui sont les deux prochains grands vecteurs.
Quant à l’aspect géopolitique (migration involontaire) et sociétal (polarisation sociétales), ils occuperont généralement les dernières places.

En effet, Le monde fait face à une combinaison complexe de défis, allant de l’accentuation des effets du changement climatique et des menaces croissantes de pandémie à l’aggravation des conflits et à la croissance économique la plus lente en trente ans selon les WorldBankBlogs. Ces crises qui se superposent ne sont pas simplement une nouvelle réalité, mais représentent également une menace sans précédent pour la réduction de la pauvreté et le développement économique. Elles rendent plus difficile pour les familles de subvenir à leurs besoins fondamentaux tels que la nourriture, l’éducation et la santé.

C’est dans ce contexte que la Banque mondiale a récemment approuvé la mise en place d’une série d’outils dans le cadre de son engagement en faveur du développement durable et de la réduction de la pauvreté dans les pays en développement. Ces outils comprennent des programmes de renforcement institutionnel, des mécanismes de financement d’urgence, des plans de gestion des risques et des formations pour les acteurs locaux, entre autres.

En investissant dans la préparation et la résilience, la Banque mondiale vise à aider ces pays à atténuer les effets des crises et à promouvoir un développement durable. Le Groupe de la Banque mondiale franchit une étape importante dans son processus d’évolution (a) et s’engage toujours plus aux côtés des pays, pour mieux les soutenir en ces temps de crises.

En cette journée du vendredi 02 février 2024 marquant la fin de la semaine administrative, et la désormais traditionnelle cérémonie de descente du Drapeau, la Direction Générale a eu l’insigne honneur de recevoir la visite particulière du Vice-Premier Ministre, Ministre de la Planification et de la Prospective, Monsieur Alexandre Barro Chambrier, sous le mât de l’immeuble abritant ses services au quartier Batterie IV.

Occasion pour le Vice-Premier Ministre, Ministre de la Planification et de la Prospective, de visiter le cadre de travail des agents et d’échanger avec le personnel sur les orientations de travail et les perspectives.

Tout en encourageant les efforts déjà accomplis, le Vice-Premier Ministre a instruit la DGPro à poursuivre ses engagements dans le respect de l’éthique professionnelle et le dynamisme visant l’accomplissement de ses tâches au service de l’Etat et de nos compatriotes.

Le Gabon s’engage dans la digitalisation de son enseignement, intégrant les technologies de l’information pour améliorer l’accès à l’éducation.

En effet, une stratégie nationale de digitalisation de l’enseignement a été élaboré visant à atteindre 90% des établissements scolaires publics en cinq ans. Selon le rapport officiel 2022 des Nations-Unies au Gabon, neuf (09) écoles des provinces de l’Ogooué Lolo et du Moyen Ogooué en bénéficient déjà. Pour une phase expérimentale, 500 tablettes ont été distribuées à 1500 écoliers des sites pilotes.

Bien que des progrès soient réalisés, des efforts continus sont nécessaires pour étendre l’accès aux ressources numériques et garantir une éducation équitable et innovante pour tous les apprenants gabonais.

L’urbanisation au Gabon a considérablement augmenté au cours des dernières décennies avec un taux d’urbanisation de 87,1% en 2013 à 90% en 2020, faisant du Gabon le pays le plus urbanisé en Afrique selon le rapport officiel du Plan-Cadre de Coopération des Nations-Unies pour le Développement Durable 2023-2027.

En effet, Libreville, la capitale, concentre une grande partie de cette urbanisation, devenant un centre économique et culturel majeur du pays. Ce phénomène a entraîné des changements significatifs dans la dynamique sociale et économique du Gabon.

Ces journées qui se déroulent du 27 au 29 décembre 2024, ont pour thème « Zoom sur la diffusion pour une meilleure visibilité des statistiques ».

Dans son propos de circonstance, le Ministre de l’Economie et des Participations, Monsieur Mays Mouissi, a tenu à exprimer ses remerciements à Monsieur le Premier Ministre pour avoir accepté de patronner ces journées et adresser au personnel de la DGS, ses vives félicitations pour le travail accompli et ses encouragements pour les défis qui restent à relever dont le principal sera d’accélérer puis de clôturer le recensement général de la population et du logement.

Du 18 au 21 décembre 2023, la Direction Générale de la Prospective (DGPro) a effectué des rencontres avec les partenaires d’exécution des Plans de Travail Annuel ( PTA) 2023 dans leurs structures respectives. Ceci, en vue de l’analyse de l’évaluabilité du Programme de Coopération Gabon-Unicef (2023-2027).

L’objectif de ces rencontres, est d’améliorer la mise en œuvre dudit Programme et de permettre des conditions d’une évaluation formelle en fin de cycle. Le Consultant recruté par l’UNICEF a conduit la collecte des données

Prochaines étapes:

Publication du rapport préliminaire d’ici le 31 décembre 2023. Le définitif, se fera en janvier 2024.

Parmi les innovations comprises dans le nouveau budget, il faut citer le renforcement de la section de la couverture des réunions du Département de la communication globale (DGC). Dotée de 20 postes temporaires supplémentaires, il pourra publier ses communiqués de presse dans les six langues officielles de l’ONU : anglais, français, espagnol, arabe, russe et chinois.

Le Bureau de la lutte contre le racisme au Secrétariat de l’ONU est renforcé. Il faut aussi noter la création d’un bureau pour la protection des données, ainsi que la création d’un compte spécial pour alimenter le Fonds pour la consolidation de la paix.

Il a été décidé d’approuver 50 millions de dollars de contributions obligatoires par an pour financer ce compte, à compter du 1er janvier 2025.

Le Fonds pour la consolidation de la paix est le principal instrument de l’ONU pour investir dans les efforts de prévention et de consolidation de la paix.